Affichage des articles dont le libellé est investissement. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est investissement. Afficher tous les articles

dimanche 27 janvier 2019

Mon portefeuille d'actions

Dans ce billet, je présente brièvement mon portefeuille d'actions constitué de 10 titres : 6 américains et 4 canadiens. Il est en construction et je compte acheter encore quelques titres pour augmenter la diversification sans m'éparpiller pour autant.

L'analyse fondamentale me sert à sélectionner les entreprises à acheter et à conserver sur le long terme. Bref, je cherche des entreprises qui ont de bons résultats (croissance et rentabilité) et dont la situation financière est solide (peu ou pas de dette). Je m'assure également que le prix payé est raisonnable.

Mon hypothèse est la suivante : acheter à prix raisonnable des actions d'entreprises rentables, en croissance et avec peu de dettes, assure sur le long terme la préservation et l'augmentation du capital investi.


Titres*
Cour moyen d'achat
En portefeuille depuis
Temps de détention
États-Unis
Berkshire Hathaway (BRK.B)
164,49 $
21 décembre 2015
37 mois
Big Lots (BIG)
30,10 $
11 décembre 2018
1 mois
Cognizant Technology Solutions (CTSH)
52,09 $
13 octobre 2016
26 mois
Dollar General (DG)
74,35 $
11 mai 2017
23 mois
Facebook (FB)
159,16 $
2 avril 2018
11 mois
Starbucks (SBUX)
55,90 $
23 février 2018
10 mois
Canada
Alimentation Couche-Tard (ATD.B)
58,27 $
11 juillet 2016
31 mois
Industries Lassonde (LAS.A)
201,67 $
2 janvier 2019
0 mois
Quincaillerie Richelieu (RCH)
25,19 $
15 janvier 2019
0 mois
Stella Jones (SJ)
41,74 $
12 décembre 2018
2 mois
Temps moyen de détention
14 mois
* Cliquez sur le nom d'une entreprise pour atteindre son site Internet. 

Vous remarquerez que le temps de détention moyen est relativement court, car je me suis départi de quelques titres en 2016-2017 pour un besoin de liquidités qui ne s'est pas matérialisé finalement. D'ailleurs avec le recul, je n'aurais jamais dû vendre ces titres.

Que pensez-vous de ma sélection de titre? 

N'hésitez pas à commenter!

samedi 31 janvier 2015

Cesser d'être épargnant : devenir investisseur!

Un mois déjà s'est écoulé depuis le début de l'année 2015. J'ai passé ces quelques semaines à me questionner sur mes finances personnelles. Comme mentionné dans mon dernier billet, j'ai atteint plusieurs de mes objectifs de l'an passé.

Je suis un bon épargnant! À ce rythme j'aurai une retraite confortable. Le problème c'est que je ne veux pas une retraite confortable. Je veux être libre. Ne plus dépendre d'un chèque de paye.

J'ai toujours mon objectif d'investir dans l'immobilier, mais l'accumulation de ma mise de fonds est difficile avec une stratégie basée sur l'épargne. Il est donc temps que je donne un coup de barre. J'ai identifié quatre moyens d'arriver à mes fins.

- continuer à contrôler mes dépenses
- poursuivre mon plan d'épargne systématique
- augmenter le rendement de mes investissements
- chercher un partenaire financier
- me construire une autre source de revenu

Continuer à contrôler mes dépenses.

Je n'entrerai pas dans le détail de cet objectif. J'ai traité de la gestion des dépenses sur ce blog de manière régulière. Un objectif fondamental : réduire mes dépenses en restauration.

Poursuivre mon plan d'épargne systématique

Je vais continuer à mettre de coté entre 15% et 20% de mon salaire net pour la construction de ma mise de fonds. Afin de m'assurer de ne pas déroger de cette règle, je mets également de côté 7% pour mes REER et 7% en prévision de voyage. Ainsi, je n'aurai pas à piger dans ma mise de fonds pour d'autres projets.

Augmenter le rendement de mes investissements

Jusqu'à maintenant j'ai joué de prudence dans mes investissements. L'an dernier devant les rendements anémiques de mes placements j'ai commencé progressivement à apporter des modifications comme contrôler les coûts par l'ajout de fonds indiciels à mon portefeuille.

Cette année, après des années de lecture et une expérience négative avec Blackberry, j'ai décidé de réaliser quelques acquisitions d'actions. Cette fois-ci je tente le coup en m'inspirant de l'approche de Bernard Mooney : des titres de compagnies solides et en croissance.

Me trouver un partenaire financier

Devant les efforts que demande l'accumulation de ma mise de fonds, je suis arrivé à la conclusion qu'un partenaire financier me serait d'une grande utilité. Je vais tenter de m'intégrer dans un réseau d'investisseur immobilier.

Me construire une autre source de revenu

Cette année, je compte effectuer des tâches comme travailleur autonome dans l'objectif d'avoir un revenu d'appoint. J'ai commencé à réfléchir au concept. Je vais le peaufiner et le tester.


Je vous tiendrai informés de l'état d'avancement de ces objectifs en cours d'année.  

dimanche 16 mars 2014

Acheter un plex : trouver le financement

Le projet d'investir en immobilier est au cœur de ce blogue depuis le tout début. J'ai fait des lectures, assisté à des rencontres d'investisseurs et épargner systématiquement, mais pourtant toujours rien n'a bougé ou presque en vue de la réalisation de cet objectif.

Autrement dit : ''je ne suis pas propriétaire et je vis toujours en appartement''.

Pourquoi?

Trois grandes explications me viennent à l'esprit.

  1. Le défi de rentabiliser un achat immobilier
  2. La difficulté d'amasser la mise de fonds nécessaire à un achat rentable
  3. La peur et les craintes de faire le ''grand saut''

Le défi de rentabiliser un achat immobilier

Un des points expliquant que je n'ai pas encore effectué l'achat d'un bien immobilier est la difficulté de rentabiliser l'achat d'une maison, d'un condo ou d'un plex.

Je m'explique. Je me suis fixé comme objectif de devenir propriétaire avec l'idée d'atteindre l'indépendance financière à moyen terme. Ma future propriété doit donc coûter mon cher que la location d'un appartement. Mission impossible...ou presque. Je vous invite à faire le calcul.

Coût lié à l'achat + paiement hypothécaire + impôt foncier + taxe scolaire + assurances + entretien

Tous ces frais sont oubliés lors de la vente d'une maison. ''J'ai acheté ma maison 200 000$ et je la revends 275 000$. J'ai donc fait 75 000$. Demeurer locataire c'est jeter son argent par les fenêtres''. Ce calcul est complètement faux et la majorité du temps la location revient moins cher à long terme.

Le seul hic. Il faut avoir la discipline d'investir l'argent économisée dans des actifs plutôt que dans des dépenses de consommation. Dans ce sens, j'endosse l'idée qu'une maison c'est de l'épargne forcée plutôt qu'un investissement.

La question que je me pose : est-ce que j'ai la discipline pour le faire?

Le difficulté d'amasser la mise de fonds nécessaire à un achat rentable

J'ai commencé à élargir mon champ de recherche par l'évaluation de la rentabilité d'immeubles plus gros. Un constant s'impose....en général plus l'immeuble contient d'appartement plus il est rentable. Le seul problème constituer la mise de fonds nécessaire!

Je sais, je sais les livres sur l'immobilier sont remplis de trucs pour investir sans argent ou pour ''trouver'' sa mise de fonds. La majorité d'entre eux ne laissent que très peu de place à marge de sécurité financière en cas de coup dur. Bon, certains diront que je suis poltron et ils n'auront pas complètement tort (c'est le sujet de mon dernier point après tout!).

Dans l'immédiat, la solution de trouver un associé me paraît plus approprié.


La peur et les craintes de faire le ''grand saut''

Nous y voilà. Je dois bien l'admettre....il subsiste chez moi les bons vieux réflexes de ma vie d'avant. La peur et les craintes de faire le ''grand saut'' surtout que ma conjointe n'est pas intéressée par l'aventure de l'immobilier.

Je ne vous ferai pas ici la liste de mes peurs et de mes craintes....vous êtes sans doute en mesure de les imaginer.

Bon, il paraît que de poser clairement un problème rencontré aide à le solutionner. Le voici posé!

Suis-je prêt à payer un peu plus cher que mon loyer pour démarrer mon projet?

Ou

Vaut-il mieux me trouver un partenaire financier et investir dans des immeubles plus rentables?

Je prendrai bien vos suggestions....

dimanche 16 septembre 2012

Immobilier : accumuler ma mise de fonds

L’automne arrive et, comme le temps passe vite, la fin de l’année sera bientôt à nos portes. J’ai donc décidé de me pencher sur mes objectifs financiers de l’année 2012.

Dans ce premier billet, je ferai le bilan du travail effectué dans l’atteinte de l’objectif principal que je m’étais fixé soit l’achat d’un bien immobilier. 

D’abord, je dois vous avouer que le scénario ne s’est pas déroulé comme prévu. Certes, j’ai poursuivi mes lectures sur le sujet notamment les ouvrages de Jacques Lépine et ceux de Martin Provencher. J’ai également découvert le blogue Jeune investisseur immobilier qui constitue une mine d’information intarissable. Par contre, je n’ai pas participé aux activités du Club des investisseurs immobiliers comme je m’étais engagé à le faire.
De plus, j’ai débuté avec ma copine un travail de réflexion afin d’identifier nos besoins c’est-à-dire le choix du bon secteur et du type d’immeuble qui nous convient. Une chose est certaine nous voulons acheter une maison de chambre ou un plex. La dernière chose que nous voulons c’est de payer l’hypothèque seuls! 

En ce qui concerne l’accumulation de ma part de la mise de fonds. Mon objectif est complètement manqué. Je n’ai que quelques centaines de dollars de plus qu’en début d’année. Deux raisons majeures : ma copine et moi avons passé nos vacances estivales à Paris et j’ai effectué des cotisations REER. Bon, l’objectif mise de fonds n’a pas progressé, mais Paris ça vaut le coût!!!

Il me reste encore 3 ½ mois d’ici la fin de l’année pour reprendre le temps perdu et augmenter mon capital pour investir en immobilier.

Leçon de cette histoire c’est bien beau se fixer des objectifs, mais il ne faut pas les perdre de vue….   

Source de l'image: SHA, publication strictement interdite sans autorisation.      

vendredi 16 mars 2012

Gérer soi-même ou consulter un conseiller financier?

Ce billet traîne dans mes cartons depuis plusieurs mois…je pense que c’est le temps de le publier. Il retrace mes péripéties pour me trouver un conseiller financier.  

Après avoir fait le ménage dans mes finances personnelles, j’ai décidé de me trouver un conseiller financier afin de faire fructifier mes économies. Je peux vous dire que cette tâche est loin d’être facile!

Première étape : me renseigner

J’ai commencé mes recherches par la lecture de Savoir choisir son conseiller financier de Jean Dupriez. Ce livre est fantastique! Il est concis, précis et très bien vulgarisé. J’ai donc appris à naviguer à travers la multitude de titres qui prolifèrent dans cette industrie : planificateur financier, conseiller en sécurité financière, conseiller en épargnes collectives, etc. De plus, Monsieur Dupriez explique les différents conflits d’intérêts provoqués par le lien d’emploi et le mode de rémunération des conseillers financiers.

Deuxième étape : m’informer auprès de mon institution financière

Dans un premier temps, je me suis dit que je n’avais rien à perdre à rencontrer un conseiller de mon institution financière. J’ai pris un rendez-vous. En tant que petit épargnant, j’ai eu droit à une personne de bonne foi, mais novice dans le métier. Le processus suivi était très restrictif et ne comportait aucune évaluation de ma situation financière. Nous avons abouti à un beau portefeuille maison aux piètres rendements. En passant, les piètres rendements n’ont pas été mentionnés, j’ai dû les décoder moi-même. J’ai mentionné mon intérêt d’investir dans d’autres véhicules de placement, mais c’était impossible par l’intermédiaire de la personne rencontrée. De plus, la documentation fournie était anémique.

Troisième étape : trouver un bon planificateur financier

À la suite de cette rencontre pour le moins décevante, j’ai décidé de suivre la recommandation du livre de Monsieur Dupriez et de chercher un planificateur financier indépendant afin d’éviter le plus possible les conflits d’intérêts et le carcan des produits maison.

Une personne de confiance m’a recommandé un planificateur financier. Afin de m’assurer que cette personne était honnête, j’ai effectué des vérifications auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF), de l’Institut québécois de planification financière (IQPF) et de la Chambre de la sécurité financière. Le planificateur en question avait un bon dossier. Satisfait du résultat de mon travail de vérification, j’ai décidé de prendre rendez-vous. Rien à voir avec la rencontre chez mon institution financière! Le conseiller s’est informé de ma situation financière globale et nous avons discuté pendant plus d’une heure. Il m’a proposé quelques véhicules d’investissement intéressants. Par contre, il m’a fait clairement savoir qu’il me fallait atteindre rapidement une somme X sous gestion afin qu’il puisse rentabiliser son travail étant payé au prorata des sommes gérées. Je n’ai rien contre ce principe à la base, mais cet objectif l’a poussé à me proposer des stratégies peu adaptées à mes besoins et principalement orientées sur l’augmentation de la somme qu’il aurait à gérer.

4e étape : m’occuper de mes affaires moi-même

Je n’ai jamais reçu de nouvelles et je ne compte pas en donner non plus. Par contre, cette rencontre a changé ma vie, car le conseiller m’a recommandé la lecture d’un ouvrage fascinant : Père riche, Père pauvre de Robert Kiyosaki. Ce livre a complètement modifié mon rapport à l’argent et au monde des affaires.

De plus, j’ai décidé de gérer mes propres affaires et de devenir investisseur autonome. Actuellement, j’en suis à faire mes premiers pas dans l’investissement par le biais de mon compte de courtage en ligne.

Je vous tiens au courant!